TAM (Tarik Aït Menguellet) "Niɣ-as" version Ismail khaldi Studio

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Paroles et Traduction :

Niγ-as i iṭij i la dicerqen :
« Mliyi i wumi
Segw asmi medlent wallen-is,
tafat i ṭlam teğa yi »
Iṭij yenna-yid :
« A ya meγbun
Yella win ig ferḥen
yella win yettrun
Teğğad ddunit
ul-ik yettγiḍ
L ferḥ is tekkes
tefkat i wiyiḍ »
Niγ-as iw afrux i la dicennun :
« Mliyi i wumi
Segw asmi i truḥ iγab ṣṣut-is
tegwra-d t susmi »
Afrux yenna-yid :
« A ya meγbun
Xas ul-ik yuḍen
wiyiḍ la cennun
L ferḥ d leḥzen
garasen lewfeq
Win id yezwaren
wayeḍ at id yeleḥeq »
Niγ-as i teqcict i la yettargun :
« Ddunit d ilem
Asmi idi dteḍṣa, teẓled afus-is,
tegla s usirem »
Taqcict tenna-yid :
« A ya meγbun
Ula deg genwan
itran la ttargun
Ddunit d iḍes,
ugiγ ad akwiγ
Anef iyi ad arguγ
ayen i ttmenniγ »

Traduction française :
J'ai demandé au Soleil qui se lève :
« Pourquoi brilles-tu encore ?
Depuis que ses yeux se sont clos,
La lumière m'a abandonné aux ténèbres »
Le Soleil me répondit :
« Ah ! Mon pauvre ami !
Il y a des gens heureux,
Il y a des gens tristes.
La vie a livré
Ton cœur aux tourments.
La joie qu'elle lui a ôtée,
Elle l'a offert à d'autres. »

J'ai demandé à l'oiseau qui chante :
« À quoi bon ?
Depuis qu'elle s'en est allée
Que je n'entends plus sa voix,
Ne reste pour moi que le silence. »
L'oiseau me répondit :

« Ah ! Mon pauvre ami !
Même si ton cœur est malade,
D'autres cœurs chantonnent.
La joie et la tristesse
Ont un accord entre elles :
Lorsque l'une arrive,
L'autre n'est jamais loin. »

J'ai dit à la jeune fille qui rêve :
« La Vie n'est que néant !
Et lorsque, souriante, Elle te tend la main
C'est pour mieux t'arracher tout espoir ! »
La jeune fille me répondit :
« Ah ! Mon pauvre ami !
Même dans le ciel
Les étoiles ne font que rêver.
La vie n'est qu'un long sommeil
Et je refuse de me réveiller.
Laisse-moi donc rêver
De toutes mes envies. »

J'ai alors levé les yeux vers le Ciel
Et lui dis : « Pourquoi as-tu fais ça ?
Ramène à la vie celle que j'aime
Et prends-moi à sa place ! »
À moi-même, je me dis alors :
« Ah ! Mon pauvre ami !
Tu crois encore que les cieux
Peuvent t'être d'un quelconque secours ?
Crois en la vie
Mais en une vie unique.
Car, quand s'en viendra la mort
La terre si t'ensevelira sera seule héritière. »

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