La propagande rwandaise est démentie: Le général Chicko Tshitambwe reste en première ligne, pas

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La propagande rwandaise est démentie: Le général Chicko Tshitambwe reste en première ligne, pas à Butembo - DRC Update. Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont catégoriquement réfuté la rumeur concernant la présence présumée du général de division Chicko Tshitambwe dans la ville commerciale de Butembo. Selon les FARDC, le général Tshitambwe est actuellement positionné sur les lignes de front dans le Nord, où il commande activement des troupes dans la bataille en cours contre les rebelles du M-Vingt-Trois. Cette désinformation a été identifiée comme une manœuvre stratégique de propagandistes, probablement liés aux agents du président rwandais Paul Kagame, qui visent à déstabiliser la région. En diffusant de fausses informations sur la localisation du général, ces agents entendent semer la peur et la confusion au sein de la population congolaise, la poussant à fuir son domicile et facilitant ainsi la prise de contrôle de zones stratégiques par des agents infiltrés.

Cette tactique de désinformation a de multiples objectifs pour les adversaires. Tout d'abord, elle sape la confiance et le moral de la population locale à l'égard de ses chefs militaires, ce qui conduit au chaos et à l'effondrement de la résilience de la communauté. La propagation de telles rumeurs peut provoquer une panique générale, entraînant l'abandon des maisons par les civils et créant un vide que les forces hostiles peuvent exploiter. Les FARDC ont souligné le rôle essentiel d'une information exacte et de la solidarité entre la population et les forces armées pour contrer ces tactiques de guerre psychologique. Il est essentiel de veiller à ce que la population reste informée et unie pour maintenir l'intégrité et la sécurité des régions menacées, d'autant plus que les FARDC continuent de fortifier leurs positions dans des zones clés telles que Kirumba, Kaseyi et Alimbongo.

Le président Félix Tshisekedi et la République démocratique du Congo (RDC) sont parfaitement conscients de la manière dont le président rwandais Paul Kagame utilise la propagande pour influencer les perceptions régionales et déstabiliser ses opposants. Les FARDC, en tant que force militaire du pays, doivent contrer stratégiquement les campagnes de désinformation de Kagame afin d'en atténuer les conséquences néfastes. Cela implique de diffuser rapidement des informations exactes, de s'engager auprès des communautés pour instaurer la confiance et de renforcer la coordination avec les médias internationaux pour s'assurer que la vérité atteigne un large public. L'objectif n'est pas seulement de se défendre contre les effets immédiats de la propagande, mais aussi de saper son efficacité à long terme en exposant et en discréditant les sources et les motifs qui sous-tendent ces mensonges.

Le samedi vingt-neuf juin, une panique générale s'est emparée de Butembo à la suite d'informations faisant état d'affrontements entre les FARDC et les rebelles du M-Vingt-Trois à Kanyabayonga, situé dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu. Une rumeur s'est rapidement répandue, accusant un officier militaire d'avoir trahi les FARDC sur la ligne de front, entraînant la chute de Kanyabayonga. Cette information non vérifiée a suscité la colère de la population locale, qui a réagi violemment. Les manifestants, alimentés par de fausses informations, ont attaqué l'hôtel "Bilieve" où l'officier aurait séjourné, causant d'importants dégâts matériels. La situation s'est encore aggravée lorsqu'une foule enragée a tenté d'incendier la résidence privée du propriétaire de l'hôtel. L'intervention rapide des forces de sécurité a permis de contenir la violence, mais l'incident souligne le besoin urgent de stratégies de communication efficaces pour prévenir de telles réactions destructrices alimentées par la propagande.

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