Les Tunneliers

Les entreprises de tunnels et métros cachent les tunnels existant aux yeux du public ainsi qu’au reste des employés, cette vidéo montre comment ils démarrent les travaux ni vu ni connu sans avoir à montrer le tunnelier attaquant directement la roche. C'est un véritable tour de passe.
Ils prétendent que la première couche de la montagne est constituée d’une roche qui ne convient pas au tunnelier. Ils doivent alors lui préparer le terrain manuellement en l’attaquant à la dynamite afin de lui créer un « auvent » un début de tunnel (plutôt une planque) d’une longueur de 60m environ dans lequel le tunnelier va s’enfoncer pour commencer son travail. Histoire d’avoir la roue de coupe (qui ne coupe rien) le plus loin possible des regards indiscrets.

Les « tunneliers » posent plusieurs problèmes techniques :
1- Le tunnelier n’a jamais vraiment été vu à l’œuvre (absence d’images vidéo).
2- Le début de percement n’a jamais été filmé non plus (entrée dans la roche).
3- Le tunnelier avancerait en s’appuyant sur les voussoirs qu’il pose au fur et à mesure qu’il progresse. Or, lorsqu’il est posé en chantier on s’aperçoit (pour certains modèles) que le tunnelier est équipé de roues ferroviaires lui permettant d’évoluer sur des rails. Des rails qu’il ne trouvera pourtant pas sur son chemin dans la roche et il n’est mentionné nulle part que des rails sont posés en même temps que les voussoirs au fur et à mesure de son avancée.
4- Les milliers de tonnes de gravats seraient amenés jusqu’au train suiveur puis par un « simple tapis roulant » jusqu’à l’autre bout du tunnel sur des dizaines de km.
5- Un flou total concernant la technique qui permettrait au tunnelier d’effectuer des virages.

Les « shows » de sorties des tunneliers questionnent sur plusieurs points :
6- On ne voit jamais le tunnelier (filmé) sortir pour être évacué du tunnel fini.
7- 9 fois sur 10 le tunnelier fini sa course en détruisant un mur en béton. Pourquoi construire un mur en béton à l’endroit même où l’on attend le tunnelier si c’est pour le détruire avec ce dernier.
8- La sortie du tunnelier est déterminée à l’avance avec une précision chirurgicale au centimètre près, « par simple guidage laser » guidage qui ne connait pourtant pas les virages, les « gps » ne fonctionnant pas sous terre.
9- Des obstacles comme, une plateforme rehaussée, gravas et ou un groupe de personnes se tiennent systématiquement devant le tunnelier pour (nous ?) cacher sa partie basse (rails ?) lors des sorties spectaculaires de ces derniers.
10- La roue de coupe ne semble presque jamais avoir subi les usures d’un long et pénible forage de plusieurs kilomètres dans la roche, au contraire souvent la peinture n’est qu’à peine égratignée.