PANDEMONIUM | Trailer

Nathan (Hugo Dillon) considers himself a good man, a good friend, a good husband to his late wife. All of this is challenged when he wakes up on the cold tarmac of an isolated mountain road, unable to remember how he got there. He’s not alone though. There is another man, Daniel (Arben Bajraktaraj), a cyclist, who is full of wild stories — stories about death, stories about horrific accidents — all of which are unsettling but only the start of Nathan’s troubles. It soon becomes clear that he has no other choice but to continue his journey by stepping through the mysterious door that suddenly appears in front of them, as if out of nowhere. Some of the souls he finds littered along the way are too far gone, their stories too monstrous to suggest there’s any going back for them. The question is, is Nathan one of them, or has it all been a big mistake like he seems to think?

Winner of Fantasia Festival’s 2016 Jury Prize for Best International Short for A NEARLY PERFECT BLUE SKY, writer/director Quarxx returns to the festival with his second feature film, PANDEMONIUM. Drawing on themes found in Dante’s Inferno and Milton’s Paradise Lost, the film is a multi-textured existential fantasy, topped with signature notes of visceral horror, disturbing fairy tale, wry comedy, and dark thriller. Exploring the many faces of death — suicide, murder, illness, accident — Quarxx dives deep into the notion of sin without redemption, the frailty of the human condition, especially madness and suffering, through the waking nightmare of one confused traveler who refuses to abandon all hope as he enters the gates of hell and confronts the demons within.

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Nathan (Hugo Dillon) se considère comme un homme bon, un bon ami et un bon mari pour sa femme décédée. Tout cela est par contre remis en question lorsqu’il se réveille sur la froide chaussée d’une route de montagne isolée, incapable de se souvenir comment il est arrivé là. Mais il n’est pas seul. Il y a un autre homme, Daniel (Arben Bajraktaraj), un cycliste, qui raconte des histoires délirantes. Des histoires de mort, d’accidents horribles, toutes troublantes, mais qui ne marquent que le début des problèmes de Nathan. Il devient vite évident qu’il n’a pas d’autre choix que de poursuivre son voyage en franchissant la mystérieuse porte qui apparaît soudainement devant eux. Pour certaines des âmes qu’il croise, il est trop tard; leurs histoires sont trop monstrueuses pour qu’il soit possible de revenir en arrière. Nathan fait-il partie lui aussi de ces âmes perdues? Ou bien s’agit-il d’une grossière erreur comme il semble le penser?

Gagnant du prix du jury de Fantasia 2016 pour le meilleur court métrage international avec A NEARLY PERFECT BLUE SKY, le scénariste et réalisateur Quarxx revient au festival cette année avec son deuxième long métrage, PANDEMONIUM. S’inspirant des thèmes explorés dans L’Enfer de Dante et dans Paradise Lost de Milton, le film est une fantaisie existentielle aux multiples textures, agrémentée de notes caractéristiques d’horreur viscérale, de conte de fées dérangeant, de comédie ironique et de suspense. Explorant les multiples visages de la mort – suicide, meurtre, maladie, accident – Quarxx plonge au cœur de la notion de péché sans rédemption, de la fragilité de la condition humaine, en particulier de la folie et de la souffrance, à travers le cauchemar éveillé d’un voyageur désorienté qui refuse d’abandonner tout espoir alors qu’il franchit les portes de l’enfer et affronte les démons qui l’habitent.

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