VÎRUS - MOUTON CADET

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Extrait de l’album NYCTHÉMÈRE disponible ici-joint :
https://linktr.ee/rayon_du_fond
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Réalisation : Junior Paganelli
Texte & interprétation : Vîrus
Instrumental & mixage : Al’ Tarba
Arrangements : Laurent Jacquier & Al’ Tarba
Équipe de tournage : Melvin, Arthur Nuti, Lucien Schemel, Julien Baume, Haruka Paganelli & Dan Ramaën
Production : Rayon du Fond & Kakashi
Extrait de l’album NYCTHÉMÈRE à paraître…
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Lyrics :
voyez comme on fait la bringue,
voyez comme on s’appelle frère,
voyez comme on s’appelle tonton,
voyez comme la structure familiale
est bringuebalante…
voyez comme on fait la bringue,
voyez comme on s’appelle frère,
voyez comme on s’appelle tonton,
voyez comme la structure familiale
est bringuebalante…
voyez comme on s’appelle cousin,
voyez comme on s’appelle le sang,
voyez comme on fait la bringue,
comme la structure familiale est bringuebalante…

je ne crois qu’en un seul don : la prédisposition

j’étais pépère en train de pécher,
quand s’érigèrent des donneurs de leçons
cancérigènes ; eh du con : éduquons !
coconstruisons nos cocons
et qu’aucun coké coquin coquet ne fasse le coq ok ?
les mains derrière la tête devant un cocktail concocté,
le commun des mortels y voit la côte les cocotiers,
les autres s’apprêtaient à cramer un camion de pompiers,
NON : nous n’avons jamais été boycottés !
pour ça l’aurait fallu être reconnus, s’ériger en triomphallus,
sauf qu’on débarque avec nos bottes crottées,
un pavé dans la paume pour de probables points de côté…
à qui le veut peut voir le mouton noir en grain de beauté,
à qui le veut peut voir le mouton noir en train de sauter,
à qui le veut peut voir le mouton noir en grain de beauté
en train de sauter, à qui le veut… :
moi j’aimerais nous y voir à finances égales,
chacun dans ses tours d’ivoire affinant ses gammes,
à s’étourdir d’un magma d’amalgames,
en fourbe fourbir les armes : et ces âmes qui ne s’ouvrent pas…

que puis-je, que peux-je… pour ces âmes qui ne s’ouvrent pas…
que puis-je, que peux-je… que puis-je, que peux-je pour ces âmes…

je ferai de mon mieux pour pas passer par la nêtre-fe,
au diable les meubles bien trop volumineux,
de l’air, de l’herbe, jamais sans ma glacière bleue,
quiconque obtempère se voit pousser des oreilles sales,
se voit pousser un nez d’feuj…
de base qui me bénit me blesse,
les mères de mes amis allument des cierges,
me disent que je suis comme leur fils je les inquiète,
comme qui prétend avoir vu la vulve de la vierge,
chacun son truculent… moi j’alterne les purges et les murges
et les murges et les purges et les murges…
les joies, les peines ; les poids, les gènes à mon insurge,
la culpabilité : jeu, sexe, émoi…
perdu pour perdu va vers ta vertu,
par les chemins tortue-tortueux,
la distraction tue, le soupçon prévaut,
t’étais têtu tu t’es tu,
restée sous le préau ton érection de pendu…
on nous a vendu des œillets des dahlias,
dans un dédale de rues, vivons hors –tension en hortensia,
toussainplement pliés en deux endeuillés : rendez-vous devant le cimetière…
sauf que le fleuriste son plus gros chiffre d’affaire c’est pour la fête des mères,
tout ça est bien éphémère comme un couple préfet-maire,
sous le tapis ou sur la table, qu’est-ce que tu préfères ?
j’aurais sûrement frappé ma femme si j’avais vu mon père le faire…

perdu pour perdu, va vers ta vertu…
lieu soit doué !
perdu pour perdu, va vers ta vertu…
lieu soit doué !
lieu soit doué !
lieu soit doué !
perdu pour perdu, va vers ta vertu…

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