TEYSSEYDRE + MAZARS = Censure en marche à Rodez ?

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Stéphane Mazars, (PRGmacroniste) adjoint au maire de Rodez, avocat de profession, ancien sénateur suppléant, conseiller départemental depuis 2016, fût semble t'il avec Christian Teyssedre (maire de Rodez depuis 2008), l'un des instigateurs des procès en marche à Rodez contre la presse et les rédacteurs indépendants, cautionnant par sa plaidoirie en conseil municipal du 11.06.2014 (hors d'une salle d'audience d'un tribunal) le 1er procès contre la presse à Rodez, dans le but à peine masqué de museler des rédacteurs de la presse dites "libre" et indépendantes, qui depuis, bien sûr ne l'est plus.
Lors du conseil municipal du 11 juin 2014, Stéphane Mazars accordait son vote et il plaidait même en la faveur de Christian Teyssedre, pour permettre à ce dernier d’utiliser l’argent de la collectivité, des contribuables ruthénois, afin d'éliminer l'information d'intérêt général au public ainsi que ses contradicteurs, pour mieux rendre servile une presse locale terrorisée.
En effet depuis 2014, c’est une incroyable série de procès (un en 2014, un en 2015, un en 2016) qui s’abattent régulièrement sur ceux qui osent informer la population des faits d'intérêts généraux discutables, concernant les décisions prises par la municipalité pour le compte des ruthénois. Une censure sourde s’est posée comme une chape de plomb sur la ville de Rodez, où plus personne n’ose parler. Le pire est, que cette ville est en train de devenir un petit modèle de tranquillité pour des élus dépassant toutes les bornes, par une chasse à l’homme, à la femme, à l'ensemble des habitants qui osent bouger le petit doigt ou dire un mot de trop qui froisse immédiatement le maire, dès lors qu'il n'est pas flatteur à son endroit. Les journalistes ne peuvent plus travailler normalement, car soumis à flatter sans conviction (pour ne pas perdre leur emploi) les frasques de ce maire bouffit d'orgueil de sa promotion sociale, devenu de plus en plus autoritariste. Trois rédacteurs ont été pris dans les filets de la justice cousus par lui-même , sans savoir quand et comment ils en sortiront, tant les forces en jeu tournent à la machination, et peut-être pire sur le plan légal.
D’ailleurs un livre « témoignage » de la première de ses victimes décrit une réalité qui dépasse de loin la fiction au regard des méthodes inquisitoires d’un autre âge, un procès à charge ou les preuves à décharges semble invisibles aux yeux de ceux qui traitent le dossier, ou un avocat en conflit d'intérêt demande lui-même au juge à ce qu'il n'y ai pas d'enquête, alors que cette enquête lui aurait permis de disculper aisément sa cliente.

Une tragédie ruthénoise montée de toute pièce par des élus engageant les deniers publics, où l'accusée principale est désignée par une déclaration mensongère ; une tragédie qui avait pour objet de faire vite oublier un sujet d'intérêt public et général, ainsi que l'auteur officiel qui a fait publier un article de presse attaqué en diffamation, opportunément dans des relents de politique politicienne, ce qui est d'autant plus grave. Les initiateurs de ce procès en sorcellerie y sont allé " en 20...14" !
Ils ont mis au point dans leur cuisine un scénario avec journalistes et correspondants locaux de presse sacrifiés, élus d'opposition évincés, population tenue dans l'ignorance, presse alignée, digne du moyen âge. Un silence lourd s'est insidieusement installée depuis ces 5 dernières années au pays de l'Outre Noir, où la lumière y est depuis, terrifiante. Si nous prêtons attention à ce qui s'installe sournoisement, nous découvrons que si collectivement nous ne prenons gare, l’Histoire malheureuse des peuples à genoux risquerait de se répéter, d'avantage pour le pire que pour le meilleurs, assombrissant des jours heureux qui se font toujours attendre. " Quand les oiseaux se cachent, c'est le signal que la haine est plus forte que la bienveillance et que les populations sont en danger de perte de leur liberté... Et de bien d'autres choses". Pourtant, malgré le pire, il y a toujours un jour ou l'autre une issue de secours pour ceux qui savent chausser les bonnes lunettes. Comme " Y a rien qui dure jamais toujours " (Michel Jonas), même le Mal se fatigue de lui-même et doit un jour affronter la vérité contre laquelle il s'est évertué à faire obstacle durant des années, au profit de ses minables intérêts : « JUSTICE entre DIABLES" de Myriam LAUR -( Ed. TempusVitae) - (Correspondante locale de presse indépendante durant 10 ans). Un récit à lire avec attention, un fait de société qui nous concerne tous et pourrait tous nous atteindre si tout le monde laisse faire. Une affaire à étudier avec un soupçon de curiosité historique et beaucoup d'humanité.

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