J’me souviens de ton rire, lumière dans mes nuits,
Aujourd’hui ça résonne creux, silence dans le bruit.
On s’est promis l’éternel, mais l’éternel s’use,
Ton absence est un poison, chaque jour je l’infuse.
T’étais mon phare quand tout sombrait dans le noir,
T’es partie sans regard, m’as laissé dans le brouillard.
J’ai gravé ton prénom dans des pages sans retour,
Maintenant j’écris ma peine, chaque mot est un détour.
On s’aimait comme si demain n’existait pas,
Mais demain m’a brisé quand t’étais plus là.
De nos flammes il reste que la fumée froide,
Un ciel sans étoile, une mer sans vague.
J’vois ton visage dans les reflets des vitres,
J’me mens à moi-même, mais mon cœur le retranscrit.
J’parle aux photos, aux fantômes d’un passé,
Mais tout s’efface comme l’encre sous la pluie glacée.
T’étais mon abri, mon feu, ma prière,
Aujourd’hui t’es silence, un vide, une poussière.
J’crie ton nom dans le vent mais il revient jamais,
T’as laissé ton parfum, mais ton âme s’est tirée.
On s’aimait comme si demain n’existait pas,
Mais demain m’a brisé quand t’étais plus là.
De nos flammes il reste que la fumée froide,
Un ciel sans étoile, une mer sans vague.
Et si l’amour c’est saigner, j’ai saigné pour deux,
J’ai porté la douleur comme un secret honteux.
T’as planté ton absence en plein cœur de ma chair,
Et depuis j’suis qu’un homme qui dialogue avec l’hiver.
Mais malgré les plaies, j’garde l’éclat de tes yeux,
Un morceau d’éternel gravé au fond des cieux.
Si un jour on s’recroise, j’aurai plus rien à dire,
Juste un sourire brisé, un passé à ravir.
On s’aimait comme si demain n’existait pas,
Mais demain m’a brisé quand t’étais plus là.
De nos flammes il reste que la fumée froide,
Un ciel sans étoile, une mer sans vague.
Информация по комментариям в разработке