Documentaire Espions et pirates informatiques La cyberguerre est déclarée | Reportage 2022

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ESPIONS ET PIRATES INFORMATIQUE LA CYBERGUERRE EST DECLAREE

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Des services de l’Etat espionnés, des multinationales paralysées par des attaques informatiques, des médias sabotés, des hôpitaux mis à l’arrêt jusqu’à menacer la vie des patients : une nouvelle forme de guerre est déclarée, dans laquelle les ordinateurs sont utilisés comme des armes.

Pour attaquer, plus besoin de soldats : quelques hackers suffisent, le plus souvent des mercenaires. Les pirates russes, notamment, sont passés maîtres dans l’art de dérober des mots de passe, de pénétrer des systèmes, et d’y loger des virus dévastateurs. Anonymes derrière leurs écrans, ils sont rarement démasqués et sanctionnés.

Comment la France fait-elle face à cette nouvelle menace cyber ?

Qui sont les hommes et les femmes de l’ombre qui tentent d’empêcher ces attaques virtuelles aux conséquences bien réelles ? Avons-nous les moyens de faire face à une attaque de plus grande ampleur - ce que les spécialistes appellent « le cyber ouragan » ?

Cellule de crise plonge dans les coulisses d’une guerre d’un nouveau genre, sur les traces de ces hackers capables de déstabiliser un Etat en quelques clics.

Quelques cyber-attaques

En 2009 des attaques en déni de service ont eu lieu contre des sites gouvernementaux, financiers, et de médias de Corée du Sud et des États-Unis.
En septembre 2010, l'Iran a été attaqué par le ver informatique Stuxnet, dont le but était d'infecter les systèmes de la centrale nucléaire de Natanz et de la centrale nucléaire de Bouchehr. Au moins, un cinquième des centrifugeuses iraniennes ont été détruites ralentissant d'un an la mise au point de la centrale nucléaire civile énergétique iranienne. Selon Moscou, ce logiciel malveillant serait l'œuvre d'Israël et des États-Unis ;

En 2011, un virus introduit dans une base aérienne du Nevada a réussi à infecter les postes de contrôle des drones américains déployés en Afghanistan ;
En août 2012, la compagnie pétrolière saoudienne Aramco et la compagnie gazière qatarie RasGas sont toutes les deux visées par un virus informatique Shamoon (en) qui a entraîné la destruction des quelque 30 000 ordinateurs d'Aramco. Selon le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta, il s'agit « probablement de l'attaque la plus destructrice que le secteur privé ait jamais vécu », estimant qu'il existe désormais un risque de « cyber-Pearl Harbor », faisant du cyber-espace « le champ de bataille du futur » ;
Fin septembre 2012, six grandes banques américaines ont été attaquées à l'aide d'un virus par un groupe de hackers se référant au prêcheur musulman antisioniste Izz al-Din al-Qassam des années 1920 et 1930 à la suite de la sortie sur le web du film L'Innocence des musulmans. Les Américains voient l'Iran derrière ces attaques. Mi-octobre 2012, le même virus a attaqué une grande banque française. Selon le contre-amiral français Arnaud Coustillière, officier général de la cyberdéfense à l'état-major des armées : « C'est la première fois qu'un signal politique à visée stratégique est diffusé dans cette région du golfe (…) une arme stratégique, qui pèse dans les conflits. Les actions se développent tous azimuts. Nous entrons dans une nouvelle ère » ;
Fin janvier 2013, le New York Times révèle que des pirates informatiques espionnaient ses journalistes (53 micro-ordinateurs piratés) depuis le 25 octobre 2012, date à laquelle il a publié un article sur la fortune accumulée par Wen Jiabao, le premier ministre chinois. Dans les jours suivants, Bloomberg News, le Washington Post et le Wall Street Journal révèlent des attaques similaires qui se sont déroulées durant les trois années précédentes à la suite d'articles liés à des évènements ou personnalités chinois. Dans les 4 cas, les traces mènent vers des adresses IP en Chine.
Le 27 août 2013, le New York Times (USA), le Huffington Post (U.K) et le service d'image du réseau social Twitter ont été la cible d'attaques de pirates informatiques pro-Assad. Le revendication de l'attaque provient de la SEA, Syrian Electronic Army.

Explication du reportage :
08:44 _ Le reportage monte une interview Mr Bigot Yves directeur générale
de France 5 monde.
18:00 _ Le documentaire nous montre la réaction des radios...
36:16 _ Les journaliste parlent de hacker russes...
01:12:25 _ Le reportage nous montre le générale Français qui préparent une
contre attaque face aux hackers...

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