La vie et la triste fin de Bruno Cremer

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La vie et la triste fin de Bruno Cremer

Bruno Jean Marie Cremer naît le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé, près de Paris, de parents belges. Sa mère, flamande, est musicienne, tandis que son père, homme d'affaires né à Lille, a pris la nationalité belge en 1914, lorsque l’armée française refusa de l'engager en raison de son jeune âge.

Cadet d'une famille bourgeoise de trois enfants, il passe son enfance dans un immeuble haussmannien de la place de la Nation à Paris. Il nourrit le goût de la scène dès l'âge de douze ans et reçoit la nationalité française à dix-huit ans selon la loi en vigueur.

Dès la fin de ses études secondaires à l'École des Roches, Bruno Cremer est admis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, où il prend des cours pendant dix ans. Il fait partie de la promotion 1952, avec Annie Girardot, Jean-Paul Belmondo, Jean Rochefort, Claude Rich, Jean-Pierre Marielle, Michel Beaune, etc. Leur groupe d'amis est connu sous le nom de « bande du Conservatoire ».

Absorbé par sa carrière à l'écran, Crémer ne revient au théâtre qu'en 1971 dans Alpha Beta, puis, dix ans plus tard, dans Bent, où, face à Jean-Pierre Sentier, il incarne un homosexuel dans un camp nazi, en 1990-1991 dans Love Letters aux côtés d'Anouk Aimée et en 1997 dans Après la répétition d'Ingmar Bergman en compagnie d'Anna Karina.

Bruno Crémer débute au cinéma par de la figuration en 1952, avant un premier second rôle dans Quand la femme s'en mêle en 1957, sous la direction d'Yves Allégret, où il côtoie un autre débutant : Alain Delon.

Plus tard, en 1965, son rôle dans la 317e Section de Pierre Schoendoerffer lui ouvre une grande carrière sur les écrans, qui commence par un cinéma d'auteurs souvent engagés. Dans Les Gauloises bleues, il a le plaisir de donner la réplique à son amie Annie Girardot, comme plus tard à Jean-Paul Belmondo dans L'Alpagueur.

Le rôle-titre de La Bande à Bonnot est une manière de sacre en 1969. Il s'impose en vedette ou second rôle de films virils signés par Yves Boisset, William Friedkin, Daniel Duval, José Giovanni, Roger Hanin, Raoul Coutard, associé ou opposé à des comédiens tels que Bernard Blier, Michel Piccoli, Charles Vanel, Jacques Brel, Jean-Louis Trintignant, Maurice Ronet, Roy Scheider, Giuliano Gemma et Jacques Perrin.

Marlène Jobert, Marie-Christine Barrault, Fanny Cottençon, Miou-Miou, Claudia Cardinale, Catherine Alric tempèrent de leur présence cet univers d'hommes. D'un autre côté l'acteur diversifie ses collaborations : Patrice Chéreau, Claude Lelouch, Claude Sautet, Claude d'Anna, Anne-Marie Miéville jalonnent son parcours.

Crémer tourne pour la première fois pour le petit écran en 1979. Sa carrière de séducteur s'épanouit à partir de Une page d'amour d'Élie Chouraqui d'après Émile Zola, dont il partage l'affiche avec Anouk Aimée ; suivent deux téléfilms signés Jean Chapot et Nelly Kaplan où il est associé avec Françoise Fabian et Krystyna Janda ou encore Le Regard dans le miroir avec Aurore Clément.

Crémer s'illustre dans des réalisations signées Peter Kassovitz, Laurent Heynemann ou encore Christian de Chalonge. Il a aussi pour partenaire Gérard Lanvin dans La Traque, de Philippe Lefebvre et travaille régulièrement en Italie.

En 1983 il incarne Sade et Josephine Chaplin joue la femme du terrible marquis, puis en 1989, dans L'Été de la Révolution, il personnifie Louis XVI et Brigitte Fossey interprète Marie-Antoinette.

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