J’t’ai aimée dans l’silence, dans l’ombre et dans l’orage,
Même quand tout s’effondre, t’étais mon seul mirage.
T’es partie sans un mot, comme l’écho d’un adieu,
Et j’continue d’t’aimer, même si j’suis plus dans tes yeux.
J’revois nos promesses, gravées sur l’cœur en flammes,
Des “je t’aime” éternels qu’on jetait dans l’brouillard.
Mais l’éternité, c’est long quand t’es plus là pour l’vivre,
Et j’me noie dans l’passé pendant qu’le futur m’déchire.
C’était l’amour infini, mais le bonheur était bref,
T’as laissé l’vide en moi, comme un cri qui s’achève.
J’te cherche dans les rêves, mais j’te perds au matin,
Ton fantôme me hante, et j’retiens plus mes chagrins.
On avait l’univers, maintenant j’ai juste l’absence,
T’étais lumière dans l’noir, maintenant j’marche sans sens.
Chaque battement du cœur me rappelle que t’es loin,
Mais j’te garde comme une flamme, même si j’brûle pour rien.
Les souvenirs me tuent, mais j’veux pas les oublier,
J’préfère souffrir d’amour qu’un cœur anesthésié.
T’étais mon infini, t’étais mon seul abri,
Mais même l’amour le plus fort peut mourir sous les cris.
C’était l’amour infini, mais le bonheur était bref,
T’as laissé l’vide en moi, comme un cri qui s’achève.
J’te cherche dans les rêves, mais j’te perds au matin,
Ton fantôme me hante, et j’retiens plus mes chagrins.
Si l’amour était éternel, pourquoi tout s’arrête ?
J’continue d’t’écrire, même si t’entends plus mes lettres.
Amour infini, oui… mais tragédie discrète,
T’étais tout pour moi, maintenant j’vis avec la perte.
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