Arrivée sur Pointe-Noire, au Congo Brazzaville.
Congo-Brazzaville : sur les routes de l'impossible, ce camion embourbé nous empêche de passer !
Les forçats des routes forcent mon admiration sur les routes de l'impossible !
Le repos dans une cabane perchée sur un baobab au Congo, après les routes de l'impossible !
Serge, mon ancien collaborateur au Congo, m'attend à l'aéroport. On va faire ensemble une virée dans le pays pendant deux semaines. J'ai loué un Toyota Hilux, 4 roues motrices, pour rejoindre le nord du pays, à la frontière avec le Cameroun, au départ de Pointe-Noire.
La très belle et imposante gare ferroviaire de Pointe-Noire. Cette gare a été mise en service en 1934 et dessert la capitale Brazzaville.
Les bureaux de Océan Express, là où a commencé mon aventure professionnelle au Congo en 2014.
Mon logement était à l'époque au premier étage, et les bureaux au rez-de-chaussée.
Serge, ma première recrue en 2014, que je retrouve 9 ans après pour partir à la découverte du pays. Voici Rosine, ma ménagère à l'époque, toujours fidèle au poste.
Pour en terminer avec Pointe-Noire, les bureaux de Ponticelli Congo. L'accès à la zone industrielle de Pointe-Noire est toujours aussi chaotique.
Un passage au magasin Casino de Pointe-Noire pour s'approvisionner en céréales, conserves de maïs et de raviolis, pour ne pas mourir de faim dans l'arrière pays...
Et c'est parti vers le point zéro sur la route nationale 1, en direction de Brazzaville.
Voici la borne kilométrique 0 à la sortie de Pointe-Noire sur la route nationale. Brazzaville est à quelques 500 km plus à l'est.
On arrive chez Serge pour prendre ses bagages. Cinq jerrycans, une pelle, des sangles, une machette; vu là où va, il vaut mieux prendre des précautions.
Pour le premier jour au Congo, j'ai opté pour une étape courte d'une cinquantaine de kilomètres seulement.
La traversée du massif de la Mayombé est un itinéraire très accidentogène, comme vous pouvez le relever.
Bien arrivés dans le petit village de Les Saras, situé sur la ligne de chemin de fer Pointe-Noire / Brazzaville. On passe notre première nuitée dans une cabane perchée en haut d'un baobab, en surplomb du village.
Le pont ferroviaire (désaffecté).
Bonjour,
Bonjour,
Comment vas-tu ?
La gare désaffectée de Les Saras.
Le générateur est bruyant, mais c'est comme ça, et il est éteint la nuit...
Ah oui, c'est la bouffe qui arrive, la bouffe, la bouffe. Et voilà !
Je viens de me réveiller après une très bonne nuit, et quel spectacle se présente à moi !
Et on reprend la route. La prochaine étape est Brazzaville et le fleuve Congo.
Un autre baobab, alors qu'on n'en voit pas beaucoup.
Une très importante aire de stockage de grumes de bois, tout près de la ville de Dolisie.
Les règles du code de la route sont un peu spéciales : de facto, on double de l'autre côté de la ligne blanche continue.
C'est une personne qu'on a prise en stop. Quand j'ai vu qu'elle portait une arme, j'ai arrêté de la filmer.
Il y a des feux de brousse incontrôlés un peu partout, et on laisse faire.
500 km de faits, il en reste encore 75 pour rejoindre Brazzaville.
La gare ferroviaire de Brazzaville.
J'aurais bien aimé filmer plus au sein de la gare, mais un policier m'a demandé un ordre de mission m'autorisant à le faire.
Les brasseries Brasco et BraLico sont très prospères au Congo.
Le port de Yoro sur le fleuve Congo, avec des pirogues et des baleinières qui y sont amarrées.
Il semblerait que cela soit des poulets dans les boîtes en carton transportées à dos d'homme. Vive le respect de la chaîne du froid.
Mes trois compagnons de voyage ce jour-là.
En l'absence d'ordre de mission, l'agent de police m'a interdit de prendre cette vue.
La largeur du fleuve Congo, entre Kinshasa et Brazzaville, et d'environ 5 km.
Au loin, on devine la Skyline de Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo.
Au bas-là, il n'y a que des pierres. Donc, en août, il n'y aura que des pierres, La zone ne sera plus navigable.
Il y a plein d'îles et de canaux dans les eaux territoriales du Congo.
Bonjour !
Le policier local était fâché après moi pour avoir pris cette photo. Il devait drôlement s'ennuyer !
Il n'y a pas de tour Eiffel.
Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
On dit que Paris est la ville lumière.
Tu peux dessiner une tour Eiffel sur l'affiche.
Ah ouais, je vois tout de suite ton sens artistique.
Merci Serthy !
Les eaux tumultueuses du Djoué, à moins de 200 mètres de sa confluence avec le Congo.
La station de lavage de Brazzaville.
La confluence avec le fleuve Congo, légèrement en aval de Brazzaville. Au loin, les fameuses cataractes du Congo.
De l'autre côté, c'est Kinshasa.
Malheureusement, on n'a pas pu s'approcher plus des cataractes. Les piroguiers nous ont dit qu'il fallait être ... en couple pour pouvoir y aller...
Le mémorial en l'honneur de Pierre Savorgnan De Brazza (1852-1905), à Brazzaville.
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