Prise en main GSXR 1300 Hayabusa 2007 (essai complet en description)

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Découverte
Il s'agit d'une GSXR 1300 Hayabusa de 2007, dernière année de production de cette génération. Elle a 76.000kms au compteur et présente extrêmement bien. 1ère main, la peinture ne présente que quelques défauts mineurs sur quelques jointures de carénages, sans plus. Elle est équipée de DEVIL Trophy chicanable, des chicanes, de tout le kit duo, d'un capot de selle et d'un protège réservoir bagster en cuir. Peu d'équipements mais déjà beaucoup de points forts pour une sportive d'occasion sous 5000€ !

J'ai pris la peine d'aller essayer cette moto car je cherche la moto la plus adaptée à ma conduite, et qui remplie les critères de confort et de sportivité que j'attend de ma monture, dans le cadre d'un voyage moto de 2000kms en 3/4 jours. L'Haya ayant comme réputation d'être une excellente "Sport GT", la curiosité m'a piquée et j'ai commencé à me dire qu'ayant pocédé uniquement des sportives, ca pourrait me plaire. On se forge jamais mieux un avis que par son expérience, essai !

En selle
Première approche de la moto, je commence par la relever de sa béquille en restant à côté. Ok, c'est plus lourd que ma SRAD 600, mais c'est pas excessif non plus. La moto parait très basse et large, son aspect "allongé" augmente d'autant l'effet.
Deuxième étape, l’en-jambage, et bascule de gauche à droite entre les jambes. Déjà, malgré la selle assez large à son point le plus étroit, la hauteur permet à mon 1m79 de poser les deux pieds au sol. La bascule confirme l'embonpoint remarqué ci-avant, elle est lourde. Le poids ressenti correspond à celui d'une Bandit 650 carénée, sauf que l'haya est plus basse.
Contact. Le conteur s'allume et on a devant les yeux vitesse, compte tour, l'odomètre et un trip, jauge température d'eau et jauge d'essence.
Les commodos sont simples, identiques à toutes les suzuki fin 90 début 2000, aucunes fioritures, seulement le nécessaire. On ne s'y perd pas, bon point.
Dès les premiers mètres, on constate que le poids est réparti très bas dans le cadre. Les demi guidons étant à hauteur du té supérieur, ils sont plus haut que ceux de ma 600. Ainsi, le buste se redresse et on a moins d'appuis sur les poignées.
La selle est bien rembourrée et les jambes paraissent moins pliées que sur la 600. Bref, on reste sur une position limande de sportive classique, mais sans avoir des contraintes douloureuses que l'on peut imaginer.
J'effectue l'essai en duo. Mon sac de sable ayant accomplie sa mission sur tout type de bécanes (GT, roadster, sportive, custom), elle m'indique que la position et le confort sont exempts de reproches pour les passagers habitués aux sportives, si ce n'est les cales pieds un petit peu haut (plus que la SRAD), qui mettent en contrainte les genoux.

Pour avoir fait du centre ville bien étroit avec, elle y passe sans difficulté particulière. Bien que longue, elle braque étonnamment bien et le poids réparti bas l'aide a se faufiler aisément. J'ai seulement regretté que l'embrayage à commande hydraulique soit aussi raide que celui de ma TLS1000, qui lui est à cable, dommage..
Mauvais point, le levier était réglé trop haut et fatiguait d'autant plus le poigné. Avec des commandes mieux réglées, la fatigue aurait été plus supportable.
Bon point, les leviers de frein et d'embrayage sont réglable en profondeur. Ainsi, j'ai pu rapprocher le levier, influant sur l'ouverture des doigts pour trouver le point de patinage

Une fois sortie du bourg, place aux virolos. On y vas mollo et on cherche ses repères dans un premier temps. Bien qu'habitué aux sportives, on est ici sur un avion qui passe en vitesse lumière en une rotation de poignée. 2, 3, 4.. Les vitesses passent, le régime grimpe sans forcer et nous voila déjà à 200 compteur !
Là où la 600 commence à forcer pour atteindre 150, on enroule à peine en haya. Bluffant de facilité. Mais cette apparante facilité amène rapidement les difficultés, car le rythme est vite rapide et les courbes approchent. Heureusement le chassis est un vrai rail et s'incline en souplesse, d'un appuis de cale pied.
Arrive l’enchaînement des virages suivants. Là par contre, on commence à ressentir le poids, altérant fortement l'agilité de la bête. Là où la 600 saute de droite à gauche, on sent que l'haya est à la peine. On est loin d'une TDM qui s'avachie dans ses fourreaux ou d'une bandit qui se dandine, l'haya reste un rail exempt de mouvement parasites. Mais elle demandera soit de couper le rythme pour enrouler en souplesse soit de la force pour se faire emmener à l'attaque.

------------(suite et fin en commentaire)

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