MILLIARDAIRE MALADE DEMANDE À LA FEMME DE MÉNAGE DE PRÉTENDRE ÊTRE SA FILLE... SA FEMME ENTRE AVEC LE TESTAMENT...
La douce lumière du matin se faufilait à travers les lourds rideaux du manoir Lemoine, inondant le salon de tons dorés. L’air était chargé d’une touche de mélancolie, comme si la maison elle-même savait que ses jours étaient comptés. Philippe Lemoine, autrefois l’un des hommes les plus influents de Paris, était assis dans son fauteuil favori, observant le paysage à travers les grandes fenêtres donnant sur le jardin. Son visage, marqué par les années et les luttes intérieures, reflétait la fatigue d’une vie pleine de regrets. Alors qu’il regardait dehors, ses pensées étaient dominées par un poids insupportable. Philippe savait que sa vie touchait à sa fin. La maladie terminale qui le rongeait était implacable, et chaque jour qui passait, il sentait ses forces décliner. Mais ce n’était pas seulement la peur de la mort qui le hantait; c’était le regret d’un passé qu’il ne pourrait jamais réparer. Il avait laissé filer l’occasion de connaître sa fille, fruit d’un amour que Solange, sa femme, avait détruit par ses manipulations. Maintenant, Philippe était déterminé à, au moins, essayer de ressentir ce que cela ferait d’avoir une fille, même si ce n’était que pour un bref moment. C’est dans cet état d’esprit que Philippe fit venir Camille, la jeune femme de ménage qui travaillait au manoir depuis quelques mois.
Camille était une fille simple, d’origine modeste, qui avait accepté ce travail pour subvenir aux besoins de sa famille. Bien qu’elle soit réservée, il y avait quelque chose chez Camille qui éveillait la compassion de Philippe. Peut-être était-ce la manière dont elle exécutait ses tâches avec une dévotion silencieuse, ou l’éclat triste dans ses yeux, qu’il reconnaissait comme le reflet de sa propre souffrance. Camille entra dans la salle, ses pas légers sur le sol de marbre résonnant dans le silence ambiant. Elle était habituée à la présence discrète de Philippe, mais l’expression de son visage ce jour-là la fit s’arrêter. Il y avait quelque chose de différent dans ses yeux, une urgence qu’elle n’avait jamais vue auparavant. « Monsieur Lemoine, vous m’avez appelée ? » demanda Camille, gardant un ton respectueux, mais curieuse de la raison de cette convocation. Philippe l’observa un moment, comme s’il évaluait s’il pouvait vraiment lui demander ce qu’il avait en tête. Finalement, il parla, sa voix rauque et affaiblie par la maladie. « Oui, Camille. J’ai... j’ai besoin de votre aide pour quelque chose de très personnel. Quelque chose qui pourrait sembler étrange, mais qui est très important pour moi. » Camille fronça les sourcils, mais garda son regard fixé sur celui de Philippe, sentant que ce qu’il s’apprêtait à demander dépassait ses obligations habituelles.
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