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SCRIPT
Paul Gauguin était choisi pour ce projet à cause de sa vie, ou ses décisions, qui en remonte un homme qui cherchait le soulagement d’être seul avec son art. Son esprit excentrique et son voyage pour trouver une vie libre m'inspirent à mettre l’œil sur ses œuvres, guidée des couleurs vives et symboles variés qu’il emplace parmi eux. Celui qui était entouré des Impressionnistes, était sans doute affamé de trouver sa niche, et son identité; on peut voire cette recherche réellement avec son mouvement progressif autour du monde et dans ses œuvres, qu’on va maintenant analyser.
Les vendanges. La misère humaine, 1888
Nous commençons avec cette œuvre démontrant une figure qui s’appuie sur les coudes en premier plan et des femmes au travail sur une montagne de raisins en arrière-plan. La couleur qui nous capture les yeux immédiatement est celle du rouge, utilisée pour les raisins en tas géant, imposant sur la figure en avant, qui a l'air d’être plongée dans ses pensées. Il y a une atmosphère d’habitude, représentée par le boulot qui se produit autour de la figure. Traditionnellement, on rassemble les raisins pour faire du vin; et, comme le nom de cette œuvre suggère, le vin se lie naturellement aux misères de l’ivresse. Peut-être la figure en avant est en deuil, lamentant le procès des raisins, signalant la répétition de l’agonie causée par leur boisson intoxicante.
Femmes tahitiennes sur la plage, 1891
La deuxième peinture que nous allons jeter un coup d'œil est celle qui dépeint deux jeunes femmes Tahitiennes sur la plage. Les couleurs utilisées ici sont légèrement saturées, menant à l’idée que cette image était créée un jour au doux soleil. La posture des demoiselles est détendue; celle d’à droit à l’aire presque impatiente, on peut déduire qu’elle a gardé cette pose pour un grand morceau de temps. De l’autre côté, sa compatriote se baigne dans les rayons du soleil, apaisant auprès les murmures des vagues.
Le Christ au mont des Oliviers, 1889
La dernière peinture sur le menu pour aujourd'hui démontre Jésus Christ sur le Mont des Olives: Jésus prie seul en premier plan, et on voit ses disciples une douzaine de mètres derrière lui. Les couleurs sont de gamme froide, une majorité de bleus et de verts. Donc, le contraste créé par le rouge vif des cheveux du Christ nous surprend. Une manque d'autres éclats de couleurs soutient une atmosphère de solitude ou d’isolement. Le Christ est seul dans ses prières, unique dans ce monde de froideur que Gauguin a créé. L'espoir de l’aube signalé par le rose ornant les bords de la colline est néanmoins une note de malheur dans l’histoire de Jésus, qui attend sa condamnation aux mains de Judas.
En fin de compte, je trouve que ma préférée de toutes ces œuvres est la dernière, sa composition et l'humeur créé par les teintes établit une toile rempli d’émotions. La première a un ton similaire, une pression inexplicable sur la figure en avant, mais les couleurs n’ont pas de parallèles significatifs hors la chevelure rouge vive. En termes de palette, la deuxième est la plus proche de la réalité, et en comparant l’atmosphère à ces voisins, cette œuvre est calme et douce, opposant la tension des toiles adjointes. Le style onirique appartenant à Gauguin s’étire au long de toutes ses œuvres; les trois ci-joints font entièrement partie de ce style.
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