Assassin's Creed Chronicles : INDIA (Xbox One) Part Ⅰ

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🔰 Dernière vidéo pour clôturer cette trilogie des Assassin's Creed Chronicles avec l'opus INDIA et j'espère vous avoir donné envie, à votre tour, de faire cette trilogie.
Cette fois-ci nous somme en 1841, l'assassin Arbaaz Mir reçoit pour mission de déjouer les plans d'un Maître Templier en possession d'un artefact appartenant à sa confrérie.
Du fait de son amour pour la princesse Sikh, il va également prendre part au conflit opposant l'Empire Sikh et la Compagnie Britannique des Indes Orientales.
Le diamant Koh-i-nor vient alors s'ajouter aux enjeux.

Koh-i-Nor signifie "montagne de lumière" en farsi.
La Reine Victoria en devint propriétaire lorsque les Britanniques le confisquèrent au dernier souverain Sikh, âgé de 11 ans, Dhulîp Singh.
C'est pourquoi, il est actuellement monté sur la couronne de la famille royale britannique et c'est en Inde que les premières mentions du diamant sont retrouvées, mais son origine reste inconnue.
En 1739, le diamant tomba en possession du perse Shâh Nâdir qui le renomma Koh-i-Nor.

Assassin's Creed Chronicles : INDIA est teinté d'un graphisme aux couleurs chaudes, vives et harmonieuses animant les paysages et les personnages.
Le tout est vivifié par des yantra, nommés également mandala dans le bouddhisme qui fleurissent à l'horizon et encerclent les cinématiques.

Toutefois, les phases de course contre-la-montre lors desquelles le level design s’effondre suite au passage de l'assassin sont basées sur le même modèle que ceux d'Assassin's Creed Chronicles : CHINA, aussi bien pour le gameplay que pour les couleurs ternes qui dépeignent ces phases de jeu.
De plus, sur les douze missions à accomplir, celles se déroulant dans un Afghanistan ébranlé par une bataille nocturne sont toutes aussi ternes.

En prenant compte des trois heures nécessaires pour terminer l'aventure principale, la moitié du temps se déroule dans ces paysages ternes.
Moins de cinq heures suffiront à terminer les douze missions, cela même sans effectuer un sans faute.
Ce qui n'est pas réellement un défaut puisque toutes les missions se ressemblent.
Les trophées, le mode New Game+ ainsi que le système de scoring sont les principaux moteurs de la rejouabilité.

Le mode New Game+ permet de rejouer l'aventure en préservant les capacités déjà débloquées.
C'est via le système de scoring que l'assassin Mir va augmenter sa possibilité à porter plus d'outils/armes et développer de nouvelles capacités telles que le multi kill et celles liées à l'hélix.
Et cela d'une façon aléatoire ne permettant pas aux joueurs de décider dans quel domaine se perfectionner.

L'hélix peut considérablement faciliter le jeu puisqu'il permet de devenir invisible.
Capacité qui paraît incongrue dans un jeu d'infiltration, excepté si elle est bien exploitée comme dans Mark of the Ninja.
Mais dans Assassin's Creed Chronicles : INDIA, en user revient à faire tomber momentanément la difficulté à zéro.

Pour exemple, suite à son passage en Afghanistan, Arbaaz Emir se retrouve dépouillé de toutes armes et outils, ce qui aurait dû pimenter le gameplay, or il est impossible de poursuivre sans user de la faculté d'invisibilité.

Alors que le gameplay avait la possibilité d'exiger des phases d'infiltration sans droit à l'erreur, c'est à peine si les serrures ont besoin d'être crochetées.
D'autant plus, que la liberté de parcours réside dans le choix d'aller chercher des items dans l'ordre voulu, tandis que l'aventure possède une trajectoire prédéfinie que l'assassin se doit de suivre pour avancer.

Le couple que forment Arbaaz et Pyara est doublé dans un anglais sans accent audible en Inde.
Un fait étrange est à noter à ce sujet, de manière irrégulière, Arbaaz roule le «r» de son prénom, mais ne le fait pas pour les autres personnages qu'il rencontre.
Les gardes locaux s'expriment également en anglais mais roulent tous les «r».
Tous ces détails pour en venir au fait que l'immersion n'est pas vraiment au rendez-vous.

La différence principale avec ses prédécesseur CHINA & RUSSIA est la colorimétrie qui est la plus belle des trois opus.
Le gameplay suit les mêmes bases que les opus précédent :
Comportement de l'IA, commandes de sauts, course contre-la-montre.
Assassin's Creed Chronicles : INDIA présente aussi les mêmes défauts : scénario, doublage, redondance du gameplay.
En plus d'y ajouter les siens, comme le dosage houleux de la difficulté.
Assassin's Creed Chronicles : INDIA a bénéficié d'une réalisation graphique soignée qui a su refléter l'atmosphère de la Compagnie Britannique des Indes Orientales.
Mais sans la base de données, le fond historique peut passer quasiment inaperçu.

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