Les phénomènes accompagnant la contraction musculaire 2 bac pc BIOF (شرح بالداريجة)

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2 BAC pc option français
2 bac pc biof
Les phénomènes accompagnant la contraction musculaire
Les phénomènes thermiques
Les phénomènes chimiques
Les phénomènes énergétiques
chapitre 2 : Le rôle du muscle strié squelettique dans la conversion d’énergie

Lors d’un effort musculaire, la température corporelle augmente. Il y a alors évacuation de l’excédent par sudation (augmentation de la perte de chaleur).
Les phénomènes thermiques accompagnant la contraction musculaire
Au cours d’une activité musculaire, le muscle dégage de la chaleur en deux temps :
La chaleur initiale qui se dégage rapidement au cours de la secousse musculaire et dont une partie est libérée au cours de la phase de contraction (chaleur de contraction), et l’autre partie au cours de la phase de relâchement (chaleur de relâchement).
La chaleur retardée se dégage lentement après la secousse musculaire.
Puisque la chaleur retardée disparait dans un milieu anaérobie ceci signifie que les réactions qui la génère nécessitent la présence d’O2 (réactions aérobies).
La chaleur initiale ne disparait pas dans un milieu anaérobie ceci signifie que les réactions qui la génère n’ont pas besoin d’O2 (réactions anaérobies).
Les phénomènes chimiques et énergétique accompagnant la contraction musculaire
Bénéficie d’une augmentation du débit sanguin qui permet l’intensification des échanges lorsqu’il est en activité
Utilise beaucoup plus de glucose et d’O2 et produit d’avantage de CO2 lorsqu’il est en activité.
Ne consomme pas les protides et les lipides mais utilise uniquement le glucose que ce soit en activité ou au repos.
Ces phénomènes chimiques traduisent l’oxydation du glucose qui produit l’énergie nécessaire à la contraction musculaire.
Lors d’une activité musculaire d’intensité croissante (tableau 2) la consommation d’O2 augmente jusqu’ à la valeur maximale 3,04 l/min (V O2 max).
Lorsque la consommation du dioxygène reste constante, malgré l’augmentation de l’effort musculaire, le muscle commence à produire de l’acide lactique.
Cependant, le muscle reste capable de se contracter en cas de pénurie ou d’absence du dioxygène.
A partir de ces résultats on peut dire qu’il y a deux types de réactions chimiques qui accompagnent la contraction musculaire : des réactions aérobies et des réactions anaérobies.

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